« Ton sourire, le son de ta voix, ta façon de laisser une porte entre-ouverte puis de la refermer avant que je n'ai pu m'y faufiler... Tout en toi éveille mon instinct possessif. Et pourtant, je reste méfiant, j'ai bien peur que si je t'ai, je ne puisse plus te relâcher. Même en sentant cela, je veux savoir à quel genre de personne tu te donnerais entièrement ? Pourrais-tu me le dire précisément ? Que je n'ai plus à attendre...

« C'est le hasard qui à voulu que nous nous rencontrions tout deux dans une agence immobilière. Mais ça a été notre propre choix de sympathiser et de tenter de vivre en colocation.
Je pense que nous avons bien fait, malgré ton côté immature, tu restes quelqu'un de facile à vivre et avec qui je passe de très bon moment. Chacun respecte la vie privé de l'autre et c'est parfait comme ça.

« Si tu crois que je t'ai menti et manipulé dès le début, c'est faux. J'ai eu des sentiments pour toi et je ne sais pas à partir de quand c'est devenu uniquement un jeu, puis une contrainte.
Rester avec toi demandais des efforts et je ne m'amusais plus. Tout tes caprices et tes manies, c'était de trop.
S'il te plait, oublie moi, je suis désolé. Dieu lui même sait que je n'ai voulu blesser personne.

« J'apprécie Jung Ahn, c'est une bonne actrice. Attentive et persévérante, patiente aussi. C'est sympa de bosser avec elle, elle ne se préoccupe pas de la forme sous laquelle viennent les consignes, elle fait de son mieux. L'esprit d'équipe c'est ce qui compte et elle l'a. Voila pourquoi je n'hésite jamais à bosser avec elle.

« Nous nous sommes rencontré dans l'avion nous menant tout les deux en Corée. Nous avions tout deux choisi de quitter le Japon le même jour, c'était juste un point commun supplémentaire. Nous avons sympathisé et maintenant on se voit assez souvent, autour d'un verre. On se raconte nos vies et on refait le monde. En japonais bien sûr. C'est agréable d'avoir un compatriote dans un pays étranger, c'est reposant.

« Blablabla blablabla blabla blablabla bla blablabla blablabla blabla blablabla bla blablabla blablabla blabla blablabla bla blablabla blablabla blabla blablabla bla blablabla blablabla blabla blablabla bla blablabla blabla blablabla bla blablabla blablabla blabla blablabla bla blablabla blablabla blabla blablabla bla blablabla blablabla blabla blablabla bla blablabla blablabla blabla blablabla bla

« Blablabla blablabla blabla blablabla bla blablabla blablabla blabla blablabla bla blablabla blablabla blabla blablabla bla blablabla blablabla blabla blablabla bla blablabla blablabla blabla blablabla bla blablabla blabla blablabla bla blablabla blablabla blabla blablabla bla blablabla blablabla blabla blablabla bla blablabla blablabla blabla blablabla bla blablabla blablabla blabla blablabla bla