넋동료 ••_ Soulmate ღ
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 Seong Min Na

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AuteurMessage
Seong Min Na
Seong Min Na .Manager
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• Messages : 1361


Seong Min Na Vide
MessageSujet: Seong Min Na   Seong Min Na Icon_minitimeLun 5 Avr - 17:33

Seong Min Na

« A partir du moment où tu n'a plus été là,
L'avenir vers lequel nous avancions s'est transformé en une page blanche.
Moi même, je suis encore incapable d'y écrire quoi que ce soit. »





© Blast
Primary Informations


« Âge : 24 ans »
« Nationalité : Coréenne »
« Métier : Manager à Samwon Garden »

« Sexualité : Hétéro »
« Statut Amoureux : Célibataire »

« Objet Fétiche : ÉCRIVEZ ICI »
« Signe Particulier : Min Na ne crie jamais ; elle est incapable d'être violente. »

« Personnalité : Shin Min Ah »


Story

Me ... Who I am & How I am


« Pour toujours et à jamais,
nous devons nous rappeler du sentiment
de vouloir que l'autre soit plus heureux que nous-même... »

Aussi loin que remonte mes souvenirs, nous avons toujours formé une famille unie. Née à Séoul, la capitale de Corée du Sud, je m'y sens chez moi depuis mon plus jeune âge. Les rues de cette capitale m'ont toujours étaient familière et j'y suis à l'aise. Comme beaucoup d'entre nous, des brides de souvenirs incomplets me reviennent de cette période. Abimés par le temps, je les est sans doute enjolivé, réparé les failles par d'autre morceaux, des morceaux plus beau. Des matins ensoleillés où nous allions au parc tout les trois, des petits déjeuners sur la terrasse, les soirées au coin de la cheminé . Une maison calme où raisonnaient mes cris de joie les après midi de week-end où je jouais avec Papa. Les matinées passées à faire à manger en compagnie de Maman. Et puis,il y avait Su Bin, mon voisin. Il était de trois ans mon ainé. On se chamaillait souvent mais dans le fond, on s'aimait bien. Combien d'heures avons nous pas passés ensemble ? Faire les quatre cents coup en un jour, espionner les voisins, cacher les objets de nos parents... Oui, ces activités idiotes occupèrent nos après midi de libre durant nos dix ou onze premières années. On s'amusait. On se racontait tout, jamais l'un sans l'autre disait-on de nous. Ce qui était vrai. Plus le temps passait et plus Su Bin s'amusait à me traiter de gamine et moi je le surnommais crétin ou imbécile. Des chamailleries d'enfant, tout simplement. On comptait l'un sur l'autre et nous nous disions tout. Du moins, c'est ce que je croyais.
Cependant, il est des failles dans nos souvenirs impossibles à combler. Et d'autre souvenirs que l'on aimerai pouvoir effacer à jamais de notre mémoire. Cela, j'allais devoir l'apprendre de moi-même.

J'ai toujours pensé que mes parents s'entendaient bien. Ils formaient un couple parfait. J'étais encore trop jeune pour comprendre que la notion de perfection ne fait pas parti d'un couple normal. Jamais de dispute, de retard, de verre brisé, des amis souriants, des compliments... La perfection incarnée. En réalité, un calcul précis et une attention minutieuse pour que tout soit comme il se doit. Mais les êtres humains ne peuvent empêcher leur vrai nature d'être. Cela ne peux se faire sans certains sacrifice. Et le jour où tout les non dits remontent à la surface, alors ce jour... On ne peux qu'imaginer. A moins d'y assister. Comme moi.
J'avais treize ans à l'époque. C'était un soir d'été, je suis rentrée à la maison, à l'heure, comme toujours. C'était sûrement de famille, personne n'était jamais en retard chez nous. Après avoir salué Papa et Maman, je suis montée dans ma chambre. J'avais du travail, mais j'ai préféré sortir un livre de fantasy. Quoi de plus normal que de préférer s'occuper de ce qui nous passionne plutôt que de travailler à nouveau ? A l'heure habituelle, j'ai descendu les escaliers pour me rendre à table. Et pour la première fois de ma vie, j'entendis des cries au rez-de-chaussé. La dispute était forte. Maman criait et pleurait. Papa hurlait plus fort encore. Depuis combien de temps ? Vu l'état de la situation, je pense que ça faisait déjà quelques minutes. La maison était-elle si bien isolée ? Papa hurlait. Il ne me fallu pas longtemps pour comprendre qu'il parlait d'un autre et de ma mère. Je ne pouvais pas en croire mes oreilles. Comment Maman aurait-elle pu tromper Papa ? C'était ridicule, elle s'occupait de nous tout les jours, faisait toujours à manger, les courses, le ménage, la maison était impeccable. Maman était quelqu'un de droit. Elle allait trouver une explication. Mais pour l'heure, je ne comprenais pas grand chose à ce qu'elle racontait, c'était incompréhensible. Il y eut un blanc. Puis Maman prit la parole. La seule chose qu'elle dit fut « Je suis désolée. Si désolée... ».
J'arrêtais de respirer. Mon cerveau refusait de comprendre. Inconsciemment, je m'étais assise silencieusement sur les marches, écoutant, furtive. J'avais sûrement mal entendu. C'était simplement impossible. Il y avait un malentendu. Un silence étrange s'installa. Ma mère sanglotait toujours. Mon père ne disait rien. Que se passait-il dans sa tête ? Avait-il espéré qu'elle nierait ? J'entendis des pas traversant la cuisine et un tiroir s'ouvrit. Ma mère hurla. Un cri de terreur et l'instant d'après elle se mit à supplier tout en hurlant encore plus. Apeurée, je descendis les escaliers en courant. Maman avait peur, pire, elle avait mal. Quand je poussais la porte, rien, rien n'aurait pu me préparer à se que j'allais voir. Maman était allongée par terre, Papa au dessus d'elle. Un couteau dans la main droite, la main gauche serrée sur la gorge de Maman. Le couteau était dégoulinant, la poitrine de Maman couverte de sang. Mes deux bras sont retombé contre mon corps et je me suis arrêtée nette dans mon élan. Mon cerveau s'embourbait, essayent de refuser cette vision atroce d'un seul bloc. Papa lâcha le couteau. Il se releva, me parlant d'une voix douce, m'expliquant que c'était la faute de Maman, que Maman n'avait pas était sage. Les yeux fixés sur le corps inanimé, je répétais pour moi même « Maman... ». J'ai envie de crier son nom. De hurler. Mais j'en suis incapable, je reste là immobile. en m'entendant prononcer son nom, l'esprit de Papa à déraper. Il s'est mit à hurler, disant que rien n'était sa faute et que c'était là faute de Maman et ma faute à moi aussi. Sans prévenir, il me plaqua contre le mur, fixant sa main contre ma gorge. Je me souviens de ses yeux, injectés de sang, me fixant avec une expression vide de sens.
La suite, je ne m'en rappelle pas vraiment. Il parait que les voisins sont venus, ils avaient entendus les cris. Il a fallu plusieurs hommes pour séparer mon père de moi. Et cela pris suffisaient longtemps pour que je garde à vie l'image de se père me fixant comme si j'étais une inconnue responsable de tout ses malheurs. Après ça, j'ai simplement perdu connaissance.

A mon réveil, les médecins m'ont expliqué que j'étais restée deux jours dans le coma. J'ai passé beaucoup de test. Des scanners, des questions, des tests de reflex... Un examen minutieux. Le docteur voulait s'assurer que tout aller bien, j'avais été privée d'oxygène assez longtemps pour endommager mon cerveau. Il parait que c'est un miracle que je sois indemne. J'ai aussi rencontré une psychologie. On m'a dis que je devrais aller la voir tout les semaines les deux premiers mois, puis si ça aller bien, on espacerait les visites. Je n'ai pas protesté. A vrai dire, je n'ai pas dis pas grand chose tout court. De quoi aurais-je bien pu parler ?


« Je te souhaite d'être triste à en mourir
pour toutes les années à venir.
De gémir de douleur même
lorsque tu regardera une comédie
et non pas seulement un drame. »


Un silence lourd de sens s'installe dans la salle. Les regards sont fixés sur moi, mais moi, je ne regarde que lui. Oui. Je l'ai dis. Devant tout le monde, en pleine audience. Dans le fond, j'entends ma grand-mère fondre en larme. Je sens quelques hochement de tête et des regards sidérés. Mais personne ne s'indigne de mes paroles. J'ai eu trois semaines pour les préparées. Et je les pense du plus profond de mon être.
Je porte un tee-shirt avec un cols en " V ". Large, il dévoile la totalité de ma gorge. Elle est encore toute mauve. Elle vire d'ailleurs au vert / noir depuis quelques jours. C'est laid. C'est atrocement laid. Mais cet hématome est le témoignage de ce qui s'est passé l'autre soir. Alors même s'il est laid et douloureux, je ne veux pas qu'il disparaisse. J'ai le sentiment que ça serai une moitié de pardon. L'homme en face semble aller mal. Très mal. Mais je suis encore plus mal que lui. Il ne s'obstine même pas à se justifier. Il est muré dans son silence. Tout comme moi.
Qu'a t-il fait ? Mais bon Dieu, qu'a t-il fait de nous ?
Même si je le voulais, je ne pourrais oublier. L'enquête à été rapide, de même que le jugement. Ils avaient le coupable, l'arme du crime, des témoins et un motif. Rien pour casser cette "perfection". Désormais, je suis loin de lui, loin d'elle, loin de nous et loin de moi. J'ai juste l'impression de dériver sans jamais m'arrêter.

Il n'y a plus rien devant moi. Rien qu'une feuille blanche. Et je ne vois vraiment pas comment je pourrais trouver la force d'y tracer quoi que ce soit.
Car cet homme en face de moi n'est pas mon père. Il n'est que l'homme qui a détruit ma vie.


« Au cours de notre vie, nous perdons des choses.
Des choses que nous aimons et dont nous nous soucions le plus.
Alors nous enterrons cette tristesse de les avoir perdu dans un profond oubli. »


La sentence fut prononcée. La peine capitale avec sursis, 40 années de prison ferme et une peine de sureté de 30 ans. Me serais-je sentie mieux si la peine de mort avait été prononcée de façon ferme ? Je l'ignore. J'entends tout le monde quitter la salle, un à un. Les avocats discutent entre eux. L'avocat à été commit d'office et ne tient pas à protéger son client. Ils me jettent un regard désolé et sortent. La salle est silencieuse maintenant. L'homme n'a pas protesté contre a sentence. Il est parti en silence, la tête basse.

« Et maintenant ? »

La question, je l'ai posée à voix basse, inconsciemment et pour moi même. Mais une main se pose sur mon épaule et la serre doucement, avec chaleur et délicatesse. Ji Soo est là. Comme depuis longtemps. Elle à toujours été là, mais je n'avais d'yeux que pour Su Bin. Mais c'est bien elle qui s'accroupit en face de moi et prend son visage entre ses deux mains. Ces yeux débordent de sincérité et de douleur. Elle est là et elle souffre. Elle souffre de ma souffrance.

« Maintenant je suis là. Maintenant et pour toujours. Pour toi. On y arrivera. »

Les larmes se mettent à rouler spontanément sur mes joues. Ces même larmes qui étaient restées en moi depuis ce soir là. Maintenant je peux les laisser s'exprimer. J'ai mal et j'étouffe. J'ai peur. C'est comme s'il n'y avait plus de sol sous mes pieds. Mais tu est là, Ji Soo. Dans mon élan, je te sers dans mes bras. Sûrement fort. J'ai peur que tu t'efface comme les autres. Ne pars pas. Reste avec moi. Tu m'as juste serré dans tes bras. Tu n'as pas tenté de faire cesser mes larmes. Tu m'as simplement laissé exprimer ma douleur. Tu n'aurai pas pu mieux agir.

Plus tard, quand mon corps fut plus capable de verser la moindre larme, tu m'as ramené chez toi. Tes parents m'ont expliqués que mes grands parents étaient trop chamboulés pour me prendre en charge et que je ne pouvais pas rester éternellement à l'hôpital. Ils avaient obtenue ma garde provisoire jusqu'à ce que je trouve une nouvelle famille. En attendant, j'étais chez moi ici.
Ils avaient été cherché mes affaires chez moi, je n'eus donc pas à y retourner. Je doute sincèrement que j'aurais pu. Lors de l'enterrement de Maman, la première semaine, j'avais simplement refusé que la fin de journée se finisse là bas. J'avais eu le soutiens de la police, qui préférait fermer la maison jusque la fin de l'enquête.
C'est à cette période que mes cauchemars ont commencés. Personne ne s'étaient attendus à ce que je n'en ai pas après ce que j'avais vécu. La famille de Ji Soo fut plus que tolérante. Les premiers temps, ils vinrent en courant pour me rassurer. Puis tout le monde, y compris moi, nous avons commencé à trouver un petit équilibre. Si je me sentais vraiment trop mal après mon réveille, j'allais retrouver Ji Soo. Sinon je restais simplement seule dans le noir. Ils ne pouvaient pas passer leur nuit à mon chevet, c'était tout à fait normal. J'étais assez rétissante à l'idée de m'intégrer vraiment à leur famille mais qui aurai pu m'en vouloir.

C'est à cette période que je compris aussi qu'il était normal pour un couple d'avoir des différents. Les reproches fusaient parfois, les voix montaient, mais des solutions ou des compromis pointaient toujours le bout de leur nez. C'est aussi comme cela que l'on découvrit la deuxième conséquence de mon traumatisme : je ne supportais pas d'entendre des gens crier ou même hausser le ton. Cela revenait à recréer en vrai un cauchemar géant dans mon esprit. Je fondais en larme, je reculais en me bouchant les oreilles, fermant les yeux, couvrant ma gorge... Ces réactions étaient fortes et durent à contrôler. Je fini par quitte automatiquement la pièce à chaque dispute naissante.
C'est sûrement à cause de ça que aujourd'hui encore je ne hausse jamais la voix pour parler. Frapper quelqu'un est un geste immonde pour moi et la simple idée de voir quelqu'un s'énerver me fait horreur.

Durant ce premier mois, j'ai aussi appris pourquoi Su Bin n'avait pas été à mes côtés. Le lendemain de l'accident, il avait prit un avion et s'était envolé pour le Japon, sans billet de retour. Cette nouvelle ne contribua nullement à mon rétablissement. Je me sentais trahie. Je n'étais responsable de rien dans tout ça alors pourquoi me punissait-il de la sorte ? Qui avais-je été pour lui pour qu'il s'en aille sans au revoir, sans mot, sans quoi que ce soit ? Est-ce que des fois tu regrette d'être parti ainsi ? Je t'en veux de ne pas avoir été là. C'était un fardeau trop lourd pour moi et trop lourd pour ma chère Ji Soo égallement.

J'ai fini par m'habituer totallement au fait de vivre avec la famille de Ji Soo. J'ai demandé une autorisation de rester chez eux jusqu'à mes seize ans. Une fois que je les aurais, je me ferais émanciper. J'aurais alors accès au capital laissé par mes parents et je pourrais voler de mes propres ailes ;
Je ne pense pas avoir ennuyer les parents de Ji Soo. J'étais toujours souriante et polie. J'aidais autant que je le pouvais et travaillais plus que correctement à l'école. J'aidais aussi Soo pour ses devoirs lorsqu'elle en avait besoin. La seule chose de gênante que je faisais, c'était de crier la nuit et de quitter la salle en cas de dispute. Je dois beaucoup à la famille que Ji Soo. Je ne peux pas dire que c'est devenu ma famille, car ce simple mot m'aie douloureux et réveille en moins une hantise profonde. Cependant, si je devais veiller sur des êtres une fois leur âge avancé, il coule de source que je les traiterais avec autant d'amour que j'aurais pu le faire pour mes parents.


« Mais ceux que nous avons perdu tendent à retrouver leur chemin vers nous.
Comme un tsunami conquérant un océan,
Ça bouleverse nos vies. »


Il y a deux sortes de surprises sur Terres. Il y a les bonnes surprises que nous sommes ravies d'avoir vécu et il y a les mauvaises surprises, celle qui ont la capacité de réveiller nos vielles frayeurs. Mais dans aucun des deux cas, on ne s'attendait à cette situation.

Ce jour là fut chargé de surprise. Une bonne. Et une qui l'était beaucoup moins.
C'était le jour de mes seize ans. J'étais rentré des cours avec Ji Soo, comme toujours, nous avions discuté de tout et de rien. Mon cœur soufrait toujours autant la nuit venu, mais avec mon amie à mes côté, la journée me semblait toujours moins dure à affronter. Quand nous sommes rentrée, tes parents nous attendais ! Un joli repas avait été préparé, la table de fête dressée et un cadeau m'attendais à ma place habituelle.
Des larmes de joies et de reconnaissances coulèrent en silence sur mes joues. Durant ces trois ans, ils avaient prient soin de moi, apaisé du mieux qu'ils le pouvaient mon cœur. Ils n'avaient rien attendu de moi mais ils avaient tout fait pour me soulager autant que possible. Ils n'étaient pas de mon sang, c'était quelque chose de plus fort que cela. La soirée fut excellente. Nous rimes aux éclats, le repas était délicieux et voir ces trois visages autour de moi me réjouissais. Bien sûr, une part de moi ne pouvait que souligner l'absence de ma vrai famille, appuyant de façon douloureuse sur le trou béant en moi, que j'avais recouvert progressivement par un voile. Le trou était toujours le même, mais ma façon de le porter avait changé. Un peu.
Pour mes seize ans, la famille de Ji Soo me fit un merveilleux cadeau. Tout d'abord, la feuille concernant l'émancipation était là. Tout la procédure été prête, je n'avais qu'à signer pour être reconnue majeur et indépendante. Ils ne me mettaient pas à la porte. Ils m'offraient simplement la possibilité de prendre ma liberté si je le voulais. Le second cadeau était une jolie petite somme d'argent « pour prendre un bon départ dans la vie » comme ils disaient. J'annonçais que je placerais l'argent et que je partirai dans l'année. Nous avions tout notre temps. Je ne voulais pas être une charge mais je ne voulais pas non plus partir comme une voleuse. Cela, je pense qu'ils le comprirent très bien.
Nous finirent la soirée devant un film comique (est-il utile de préciser que je ne supporte ni le film d'horreur, ni les films de combat, violant ou parlant d'infidélité ?) après quoi je suis montée dans ma chambre pour me coucher.

C'est à ce moment que la mauvaise surprise est arrivée. Quand je suis entrée dans ma chambre, il était là, en face, assis sur mon propre lit. Automatiquement, je superposais la vision que j'avais de lui sur celle de l'autre soir. Tandis que je reculais, mon pouls s'emballa et ma respiration deviens plus difficile. Pourquoi ? Comment ? Que faisait-il là ? Avait-il réussit à s'échapper ? On aurait dû m'en avertir, non ?
Fatalement, mon dos fini par toucher le mur. Mon cerveau ne réfléchissais plus. Seul le souvenir du couteau, de Maman et de lui, des ses yeux. Mise à part ça, rien. Rien que la peur.
Les secondes s'écoulèrent, lentes et pensantes. Ma mâchoire refusait de se dé-serrer, ne serait-ce que pour crier. Je le regardais juste, les yeux écarquillés. Il faisait de même, avec une expression étrange dans les yeux. Il semblait avoir vieillit de cent ans. Mais son regard me restait fermé. Je ne pouvais le déchiffré et je ne le voulais pas. En face de moi, ce n'était qu'un étranger. Un étranger qui avait tué Maman. Qui me l'avait retiré à tout jamais, juste sous mon nez.
Le silence fini par être rompu. Il se leva et avança de plusieurs pas. Il ne s'approcha pas à moins de cinq mètres, mais cette distance était déjà suffisante pour me faire trembler de la tête aux pieds.

« Pardonne-moi. Je suis venu sans prévenir... »

L'ironie, au plus profond de moi, sonna comme un glas. Amère et sombre. Parmi tout ce qu'il aurai pu dire, il avait choisir de s'excuser pour un détail de convenance insignifiant ? J'en aurai sûrement rie, si je n'avais pas été autant tétanisée.

« Je... Comme tu a grandi ! Tu deviens une femme magnifique. Je.. Je n'ai pas beaucoup de temps devant moi. Je suis sorti sans autorisation, ils vont venir me chercher. Je... Ça peux paraitre bête, mais je voulais être là pour tes seize ans. Je sais que tu ne viendras sûrement jamais me voir, là-bas. Et je ne peux t'en blâmer. Mais écoute moi, juste ce soir. »

Il fit mine d'avancer vers moi, mais renonça en voyant mon expression s'aurifier un peu plus encore.

« Tu aura du mal à me croire. Mais je voulais pas ce qui est arrivé. J'ai perdu le contrôle et je le regretterais à tout jamais. J'aimais ta mère plus que tout et je ne pouvais envisager une vie sans elle. Je ne voulais pas vous blesser ta mère et toi... ... Tu sais, ton souhaits, ta dernier volonté que tu m'a fais connaitre... Tu avais raison, je ne méritais pas mieux. Je suis malheureux, jours et nuits. Que je sois éveillé ou endormis, je revis ce jour. J'aurai dû être près de vous. Je pense toujours à ce que nous aurions pu être. Tu dois devenir une femme splendide, sur tout les points de vu. Pour prouver au monde que tu n'ai pas un déchet, comme moi. Prouve leur que tu est la fille de ta mère, belle, brillante, intelligente et tendre. Fait le pour elle. Rend-la fière et... »

C'est à ce moment que des bruits se firent entre dans le couloir. Les pas de plusieurs personnes retentirent et des ordres furent hurlés. Le reste fut rapide. La porte s'ouvrit dans un grand fracas, passant à quelques centimètres de moi, et une dizaine d'hommes et de femmes, armés, entrèrent. Ils prirent une position militaire et deux d'entre eux s'interposèrent entre moi et l'homme. Celui ci ne fit pas mine de vouloir se défendre. Il se contenta de lever calmement les mains. Sans protester, il se laissa appréhendé. Il fut fouillé et menotté. Tout ce temps, il ne me quitta pas des yeux. Je restais silencieuse, plaquée contre le mur. Tandis que deux hommes l'encadraient pour le mener vers la porte de sortie, il prit une dernière fois la parole.

« Je ne te demanderai pas d'oublier ce que j'ai fais, ni de me pardonner ou d'essayer de me comprendre. Mais vis une belle vie, d'accord ? Je t'aime, ma chérie, quoi que tu pense de moi. Je serais toujours fier de toi... »

Puis il quitta la pièce. J'eus l'impression qu'une tempête venait d'avoir eu lieu. J'étais tombée à l'eau et la mers m'avait secouée dans tout les sens. Enfin, elle venait de me déposer sur le rivage, épuisée, vidée mais en vie. Mes jambes cessèrent simplement de me portais et je m'écroulais sans force, l'esprit vide, le long du mur. Un homme et une femme de la brigande d'intervention étaient resté à mes côtés. Doucement ils me portèrent jusque mon lit et m'y allongèrent. Ji Soo entra à se moment, blanche comme un linge, se précipitant vers moi. Derrière elle, ses parents, eux aussi inquiets. D'une voix faible, je les rassurais, leur expliquant qu'il ne m'avait rien fais, qu'il m'avait juste adressé la parole.

Un peu plus tard, la maisonnée retrouva son calme et chacun fini par regagner sa chambre. Seule dans mon lit, je restais de longues heures dans le noir, à fixer le plafond invisible. Au cours de cette nuit, je réfléchis à beaucoup de choses. Notamment les raisons de ma venue dans se monde, les conséquences de chacun de mes actes, les différents futurs possible pour moi et pour mes proches. C'est ainsi que je pris la décision de quitter la maison de Ji Soo. Ce soir, tout s'était bien passé mais personne ne pouvait affirmer que cela ne se reproduirait plus ni que cette prochaine fois, cet homme ne blesserai pas des personnes que j'aime. Je ne pouvais les exposer à cette pression.

Bien que la famille n'approuva pas cette crainte, elle respecta ma décision. Doucement, on chercha un appartement pour moi. Je me dégottais également un petit boulot de serveuse, dans un restaurant de Séoul, le Samwon Garden. J'obtenais sans problème mon émancipation et je pris progressivement mon indépendance face à Ji Soo et ses parents. Doucement, car je continuais longtemps à venir manger chez eux les dimanches et quelques jours par semaine. Non pas que j'avais besoin d'argent ou quoi que ce soit d'autre. Juste parce que j'appréciais leur compagnie, chaleureuse et réconfortante.

« La tristesse, la mélancolie
Ça ne sert à rien que je cherche à les affronter
au contraire, je dois les accepter
et les serrer dans mes bras.
Je dois apprendre à vivre avec. »

Prendre conscience de cela me pris quelques temps encore. Mais une fois que cela fut fait, je réussit enfin à me regarder dans le miroir. Désormais, je n'y voyais plus les traits de mes parents. Je n'étais pas leur ombre. J'étais moi. Et je n'étais responsable que de mes seuls actes. Je travaillais dure et je faisais toujours de mon mieux. Au lycée comme à la faculté plus tard, je suis vite devenue quelqu'un d'apprécié. On disais de moi que j'étais quelqu'un d'intelligent, de sociale, de gentille, calme et serviable. Je sais que mon côté spontanée et sincère était égallement très apprécié. Je ne mentais jamais et je prenais toujours soin de ne pas blesser pour autant les gens en face de moi.
Et pourtant, malgré ma facilité à m'intégrer, je ne pouvais m'ouvrir. La seule personne de mon entourage qui savait ce que je pensais, c'était Ji Soo. Entre moi et les autres, ce n'est pas tout à fait comme si je gardais une distance, mais je ne parlais simplement jamais de mon passé ni de ma vision de choses concernant certains points, comme le mariage par exemple.

C'est avec un dossier exemplaire que je rentrais à l'université. Je fis des études de sociologies et de management. Étudier était quelques chose de naturel pour moi. Cela m'occupait l'esprit qu'importe le moment de la journée. Un bon moyen pour fuir les problèmes. Je continuais mon travail de serveuse là où j'avais commencé. Là aussi, j'étais douée. Je ne cassais jamais rien et les clients m'appréciaient beaucoup. Bien qu'il n'y avait pas de hiérarchie entre les serveurs, il va s'en dire que je restais la meilleure, souriante et efficace. Peu à peu, la vie se chargeait d'attendrir et d'arrondir les bords de mes anciennes blessures. J'avais désormais l'air d'une personne des plus normale. La jeune adolescente blessée à vif avait peu à pu cédé sa place à une étudiante pleine de vie et toujours prête à en découvrir plus.

J'avais vingt et un an quand je fis la connaissance de Tim. Tim était un américain, venu à Séoul pour ses études. Ces cheveux étaient court et frisés, ces yeux couleurs amandes riaient toujours d'un éclat malicieux. Petit à petit, il devient évidant que nous attirions mutuellement. Oubliant les traditions sévères de la Corée, je me laissais tentée par ses habitudes occidentales qu'il avait, celles de vivre librement et de ne rendre des comptes qu'à soit même. Agir en fonction de ses envies et de sa culture. Peu à peu, il débloqua en moi tout ce que ma culture m'aurai dicté de ne pas faire. Sortir le soir, boire autre chose que du soju ou du vin si j'en avais envie. Dormir chez un homme, un soir, si j'en avais envie, ne me semblais plus être un crime impardonnable. C'est d'ailleurs une habitude que je pris tranquillement, celle de rester chez lui plus tard que de raison.
De cette période je ne regrette rien.
Malheureusement, si le tableau avait été si beau qu'il n'y paraissait, nous serions encore ensemble aujourd'hui, n'est-ce pas ? Ce n'est pourtant définitivement plus le cas.

Notre relation était des plus fusionnelle. Rien que as présence dans une pièce semblait en faire monter la température de plusieurs degré. Entre ses mains, je me laissais complètement faire. Et j'appris aussi à prendre des initiatives. Il réveillait en moi un côté sauvage et possessif. Avec lui, tout était toujours terriblement sensuelle et sexy à la fois. Et pourtant... Un matin, je me suis réveillée, seule dans le lit. La douche coulait à côté, je ne m'inquiétais pas et tournais dans le lit. J'avais encore envie de paresser. Mais dans mon mouvement, je vis un rayon de soleil rebondir contre la porte du placard entre ouvert en face du lit. Curieuse, je passais le draps autour de moi et me dirigeais vers le placard. Je l'ouvris pour y découvrir une caméra. Refusant un instant d'y croire, je la pris tout de même pour en vérifier l'enregistrement. Le témoignage de notre nuit, et des précédentes visiblement, s'y trouvait. Mon cerveau s'engourdit lentement tandis que j'ouvrais la boîte à chaussure qui se trouvait sur la même étagère. Des dizaines de polaroids s'y trouvait entassés. Abasourdie, j'en pris une poignée et la laissai tomber au sol. Je fis pareil avec une seconde et une troisième. J'en pris une quatrième.
Un bruit dans mon dos attira mon attention. Tim était debout derrière moi. Serviette autour des hanches, il ne semblait pas gêné de ce qu'il voyait. Je lui lançai un regard interrogatif auquel il répondit d'un haussement d'épaule et d'un sourire insouciant. Je hochais alors doucement la tête. Je n'avais pas envie de crier. Je n'avais pas non plus envie d'entendre des explications. Tout était là et il aurai été inutile de chercher à reconstituer le puzzle ou de le cacher pour oublier.
En silence et dans un calme absolue, je récupérais doucement mes affaires dispersées dans la pièce. Inconsciemment, je fourrais tout dans mon sac, y compris la liasse de photos que je n'avais pas lâché. Rapidement, je me rhabillais et récupéra mes affaires dans les placards. Sans mot dire, j'enfilais mes chaussures et quittais la pièce. Pas à un seul instant il ne me quitta du regard, mais il garda le silence. Il ne me retient pas lorsque je quittais pour la dernière fois l'appartement.

« Aussi noir que soit la nuit
L'aube lui succède toujours. »

Je n'entendis plus parler de Tim. Il parait qu'il est retourné vivre aux USA après avoir finis son année scolaire. De mon côté, j'évitais de fréquenter qui que se soit. En un sens, j'étais comme fatiguée d'être trahie par les hommes importants de ma vie. Non pas que je ne cherchais plus de nouveau amis, je me liais facilement d'amitié, je parlais sans difficulté. Je pense pouvoir dire maintenant que je suis quelqu'un de sociable. Surtout en prenant en compte ce que j'ai vécue au début de mon adolescence. Mais pourtant, je ne suis pas capable de parler ouvertement à qui que ce soit de ce que j'ai vécu. Je ne peux pas non plus empêcher mes cauchemars de venir me persécuter presque toutes les nuits. Avec le temps, j'ai appris à ne plus hurler -bien que cela arrive encore c'est rare- je me contente de pleurer dans le noir.
Mais le jour, je suis quelqu'un de tout ce qu'il y a de plus normal. Je rie, je mange avec appétit, je sors avec mes collègue des fois... Tiens en parlant de boulot ! Avec l'obtention de mon diplôme de management, j'ai été gradée au rang de Manager. Je m'occupe de beaucoup de chose dans le restaurant, l'accueil des clients, la gestion des tables, je dois m'assurer que chaque client est satisfait, que chaque table est prise en charge à temps... Je gère aussi les gros banquets et participe à l'élaboration de nouveau menu. Je gère aussi le personnel, des entretiens d'embauche aux congés... Je sers d'intermédiaire entre la direction et l'équipe de travaille. C'est un travail assez éprouvant l'air de rien gérer toute l'équipe, les clients, leurs exigences et leurs réactions extravagantes pour ne pas dire quelques fois carrément extrêmes. Je finis souvent tard le soir, étant donné que le restaurant ferme entre minuit et deux heures du matin. Mais on s'y fais et je dois avouer que j'aime beaucoup ce métier. Malgré quelques souvenirs négatif, de manière général, je rencontre beaucoup de gens aimables et agréables.

C'est au restaurant que j'ai fais la connaissance de Hee Ra. Elle venait régulièrement, son visage ne m'était pas inconnue. Nous nous sommes recroisé un soir où j'avais pris mon congé. Nous étions toutes deux dans la même boîte, venue seule, histoire de chercher un peu de compagnie parmi nos semblables. Nous avons lié d'amitié ce soir là, discutant de tout et de rien. Par la suite, nous avons pris l'habitude de sortir régulièrement dans les même lieux. Un jour, Hee Ra évoqua le fait qu'elle devait quitter son appartement, celui-ci aller être démoli pour bâtir des bureaux. Je lui proposait alors de venir emménager chez moi. Mon appartement était grand, je disposais d'une seconde chambre qui ne me servais pas. De plus, Hee Ra était vraiment quelqu'un de gentil avec qui je passais du bon temps. Cela permis entre autre de faire baisser le coût du loyer, évidemment.
Je suis contente d'avoir fais ce choix, vivre avec Hee Ra m'apporte beaucoup. D'ailleurs sa présence à contribué je pense à rendre mes nuits plus silencieuse, par respect pour ma colocataire.


« Demain encore,
Je donnerai le meilleur de moi-même »

C'est dans cet état d'esprit que j'avance maintenant.
Cela fait maintenant un peu plus d'un an que Hee Ra et moi vivons ensemble. Je continue bien sûr de voir Ji Soo, je ne peux m'en passer. De plus, le hasard à voulu que ma meilleure amie avec ma colocataire travaille en fait dans la même entreprise. J'espère qu'un jour elles pourrons s'aimer autant que je les aime toutes deux. Je me lève le matin, ravie d'aller travailler, je me donne toujours à fond. Je croise beaucoup de monde et je m'amuse bien. Je pense pouvoir dire que ma vie actuelle me plait. Cependant il y a deux points qui ont marqué les derniers semaines ;
Toutes les semaines, Chang Byung Shi, un photographe de Vogue, vient pour photographier certains de nos plats. Nous avons signé un accord d'un an avec le magasine pour présenter régulièrement nos plats, des recettes et des petites astuces diverses. Nos relations ont toujours été très professionnelles. Certes, j'avoue qu'il est bel homme mais je n'ai jamais chercher à en savoir plus. Alors pourquoi tout cela à t-il dérapé ?
Ce soir là, je m'étais occupée de la fermeture du resto. J'étais seule et j'ai décidée de prendre un petit remontant au bar du restaurant. J'étais perdue dans la contemplation du fond de mon quatrième verre de rouge lorsque Byung Shi frappa à la porte du restaurant. Curieuse, je me suis levée pour lui ouvrir. Il m'expliqua qu'il avait oublié une de ses pellicules au cours de l'après midi et qu'il en avait besoin pour demain matin... Il la récupéra puis décida de se joindre à moi pour que je ne sois pas seule à boire. La suite ? Floue est incertaine, mais je ne crains qu'elle ne reste que trop évidente tout de même. Quand il proposa de me raccompagner, je tenais à peine sur mes jambes. Mes talons me gênaient, je me rappelle assez clairement de les avoir retirés puis de constater que le bitume était particulièrement désagréable sous mes pieds. Je crois qu'ensuite, Byung Shi à décidé de me porter. Pour le reste, ce n'est qu'un énorme trou noir. Je me suis réveillée le lendemain matin, seule et nue, dans une chambre d'hôtel classique. La note avait déjà été payée.
Je n'ai pas revue Byung Shi depuis mais je redoute profondément la confrontation qui viendra tôt ou tard.

Et à vrai dire, j'aimerai tout simplement effacer cette soirée. Elle fut qu'une erreur, une erreur stupide. Car maintenant, il n'y a qu'une personne qui occupe mes pensées. Je n'y peux rien, c'est plus fort que moi. En un sens, ça m'énerve de me retrouvée ainsi, comme si j'avais dix-huit ans, dans tout mes états à cause d'un simple garçon croisé une fois... Enfin simple garçon c'est vite dis. Shota. Je l'ai croisé au cinéma un soir. Il avait cette capacité à engager la conversation qu'on les séducteurs avéré. Mais même en prenant compte de cela, je ne suis pas parvenue à garder l a porte fermée en moi. Après avoir parlé dans la file d'attente, nous nous sommes assis l'un à côté de l'autre, étant donné que nous allions voir seuls tout les deux le même film, ce n'était pas si étonnant... Je crois.
Je ne pouvais m'empêcher d'être influencée par l'aura qui s'échappait de lui. J'avais l'impression de me retrouver face à un aimant. A la fin de la soirée, il me raccompagna chez moi. C'est là que le sort nous à joué un tour auquel nous ne nous attendions ni l'un ni l'autre. Nous étions voisin de pallié. Nous ne nous étions jamais croisé avant ce soir, mais cela faisait des mois que nous habitions l'un à côté de l'autre.
Depuis ce soir, je brûle d'envie de le revoir, j'ai simplement la sensation d'être chez moi quand je suis auprès de lui.


« Celle que je suis devenue,
de quoi à t-elle l'air pour mon jeune regard d'autrefois ? »





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MessageSujet: Re: Seong Min Na   Seong Min Na Icon_minitimeMar 4 Mai - 2:52

Endiiiiiing !!!!! ♥️
Je déplace et je relirai pour chercher les fautes plus tard x)
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Masato Shota
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MessageSujet: Re: Seong Min Na   Seong Min Na Icon_minitimeMar 4 Mai - 2:55

Uu après discution toute les deux...Je ne dirais qu'une chose :


Bienvenuuuuuuuuue parmi les membres pouvant poster sur le forum !!!
*Sort*

Falait bien que je trouve un truc Ne ?
Enfiiin tu vas pouvoir rp avec moiii *o*

Citation :
je relirai pour chercher les fautes plus tard x)
Fufufu ♪ Je vais te saquer tu vas voiiiir /PAN/

Bref Bienvenue chère Admin ♥️

& pour la peine, j'ai écrit en georgia Niahahaha
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Shiba Yasushi
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MessageSujet: Re: Seong Min Na   Seong Min Na Icon_minitimeMar 4 Mai - 17:34

Contente d'avoir enfin pu lire ta fiche complètement XD.
Bienvenue parmi les validés \o/
/fuis avant de se prendre un coup de poing dans la tête xD/
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http://tokyo-dreamers.my-rpg.com
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MessageSujet: Re: Seong Min Na   Seong Min Na Icon_minitimeMar 4 Mai - 18:03

Merci tout les deux ♥️ w ♥️
Ça fais du bien d'avoir des commentaires même en étant admin *o*
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MessageSujet: Re: Seong Min Na   Seong Min Na Icon_minitimeSam 29 Mai - 2:56

Images mises à jours ^w^
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♣ Contenu sponsorisé .


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MessageSujet: Re: Seong Min Na   Seong Min Na Icon_minitime

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